Une étudiante Bordelaise prend un PV de 60 €,

simplement pour avoir discuté avec des SDF !.

La parano anti-SDF de Bordeaux...

Incroyable mais vrai ! A Bordeaux, une jeune étudiante a reçu dernièrement une amende de 60 € à son domicile, simplement pour avoir bavardé quelques minutes avec des SDF !
Dans la ville de ce cher Alain Juppé, actuel Maire de Bordeaux, et par ailleurs ultra-tolérant avec les musulmans intégristes, il existe un arrêté « Anti-Bivouac » qui interdit, du 15 mai au 30 septembre, « toutes occupations abusives des rues et autres dépendances domaniales lorsqu'elles sont de nature à entraver la libre circulation des personnes ou bien porter atteinte à la tranquillité et au bon ordre public... »

Ce type d'arrêté peut se justifier s'il est appliqué à la lettre, c'est à dire appliqué uniquement pour faire cesser des troubles manifestes. Or, non seulement il le serait de façon abusive pour empêcher carrément les SDF de rester dans le centre, mais dernièrement, début septembre, le comble a été atteint...

Et c'est ainsi qu'une jeune Bordelaise, étudiante en sociologie, ayant aperçu une de ses amies en train de discuter avec un groupe de SDF, elle s'est approchée et a bavardé également avec eux pendant quelques minutes. C'est alors que des policiers sont intervenus... Elle raconte :

--  « Je venais de me réinscrire à la faculté, et je marchais le long du cours Victor Hugo. J'ai vu une de mes amies, qui devait elle-même s'inscrire, discuter avec un groupe de SDF. Je suis allée m'asseoir pour parler avec eux. Nous sommes restés comme ça tout au plus deux minutes, et il n'y avait pas la moindre trace d'agressivité, ni de part, ni d'autre. Des policiers à vélo sont alors arrivés, nous ont demandé nos papiers, et ont contrôlé nos identités avant de repartir. À aucun moment, ils ne nous ont indiqué que nous étions en infraction... »

La jeune étudiante a reçu un peu plus tard une amende de 60€ à son domicile ! On est en droit de connaître les coupables d'une stupidité pareille ! Cela ne peut être que sur ordre express d'une ou plusieurs ordures, (je regrette, mais il n'y a pas d'autres mots...) au niveau de l'exécutif municipal, car les policiers, dans leur immense majorité, n'ayant pas ce genre d'état d'esprit ! En tous cas, ceux de la Police Nationale... En revanche, on ne compte plus les communes qui violent littéralement les libertés individuelles des plus pauvres...  


Par Jimmy BARTHEL

Des voleurs Roumains volent en non-stop

dans la station de métro Place d'Italie !

Pick-Pockets : la RATP s'en fout...

Dans les couloirs de la station de métro Place d'Italie, une bande de pick-pockets Roumains dépouille les voyageurs en service continu... La RATP refuse de prendre au sérieux les témoignages d'usagers qui déclarent assister en direct à ces vols et même en connaitre les auteurs, sous prétexte que ces usagers sont en situation irrégulière ( Mendiants, vendeurs de fruits, etc... ). On croit rêver !

Or, il se trouve que votre serviteur, qui est SDF comme vous le savez, exerce précisément ce deuxième plus vieux métier du monde qu'est la mendicité, la manche, comme on dit couramment, dans les couloirs du métro, et souvent dans les stations Place d'Italie ou République. J'y travaille sans déranger personne, assis avec ma pancarte.

Et quotidiennement, j'assiste aux méfaits de 4 à 6 Roumains qui volent les voyageurs, dans les couloirs de la station de métro Place d'Italie... Je précise qu'il s'agit de jeunes de 18 à 22 ans environ, et non pas d'enfants forcés de voler par des réseaux mafieux... Et pire, ils n'hésitent pas, dans certains cas, à utiliser la violence quand la victime s'aperçoit au dernier moment de ce qui lui arrive...
De la place que j'occupe, je les vois faire ! Je les ai tous identifiés ! Ils ne se méfient même pas de moi, et volent carrément sous mes yeux, croyant stupidement que si je mendie, je suis forcément contre la société, et donc de leur côté... Je l'ai signalé aux agents RATP de la station, ainsi qu'aux contrôleurs souvent présents, en précisant qu'ils volent sous mes yeux sans se méfier, et que je les connais. C'est là que ces messieurs m'ont affirmé ne pas prendre au sérieux les infos venant de personnes « en situation irrégulière »... Ahurissant ! En fait, ils sont trop occupés à verbaliser les voyageurs de bonne foi. C'est normal, ça leur rapporte plus... (Voir mon article sur les Contrôleurs-Schtroumpfs en Page d'Accueil... ).

A l'heure où la Préfecture de Police, décide de mettre les moyens pour lutter contre la délinquance dans les transports, et notamment contre... les vols à la tire, autrement dit les Pick-Pockets...
Alors qu'une nouvelle loi anti-terroriste est entrée en vigueur pour augmenter la sécurité dans les transports publics, et que toutes les forces de police déclarent être au bord de la rupture suite à l'Etat d'Urgence et à la surveillance dûe aux risques d'attentats, je me permet de conseiller très fortement aux supérieurs de ces contrôleurs et autres petits agents de station de leur demander de bien vouloir changer très vite de comportement, et de le prendre sur un autre ton quand des usagers n'hésitent pas à faire leur devoir de citoyen pour lutter, à leur niveau, contre l'insécurité.

Des usagers qui, quelles que soient leurs activités, sont par ailleurs tout à fait en règle au niveau de leur titre de transport !... J'ose espérer que la Préfecture de Police sera intéressée par la lâcheté des Schtroumpfs verts de la RATP !  


Par Jimmy BARTHEL

Le mari de Martine Aubry défend les islamistes !

Il s'agit de Jean-Louis Brochen, surnommé « l'Avocat Hallal » !



Le mari de Martine Aubry s'appelle Jean-Louis Brochen, et c'est un avocat « engagé » comme disent certains.
Egalement surnommé l'Avocat Hallal, Jean-Louis Brochen est celui qui s'est fait connaître en assurant la défense de tout ce qui est islamiste, des simples jeunes filles refusant d'oter leur voiles, jusqu'aux terroristes de 1995, en passant par les pires gangsters, ayant des liens avec ces mêmes extrémistes islamistes !...

C'est ainsi que déjà, en 1993, il a été le défenseur des 17 lycéennes voilées exclues par le lycée Faidherbe.
En 2001, aux assises de Douai, il défendra l'un des trois rescapés du gang de Roubaix, des braqueurs sanguinaires de la pire espèce, dont les forfaits avaient principalement pour but de fournir des moyens aux extrémistes qui veulent détruire la société actuelle pour instaurer par la force leur ordre islamiste...
Il s'est aussi fait un plaisir de défendre le groupe de Rap « Sniper » ouvertement antisémite et homophobe, à Lille en 2003.

Alors, bien sûr, le refrain est connu, toute personne a droit à un défenseur.  Et c'est tout à fait normal. Mais un avocat peut très bien défendre tout le monde, sans préférences particulières, tout en faisant correctement son travail quelles que soient les idées de ses clients...

Or ce n'est pas le cas ici, et J.Louis Brochen ne cherche d'ailleurs pas à dissimuler son engagement !... Et la Maire de Lille, qui l'a épousé en secondes noces en 2004, n'ignorait évidemment pas ses idées ultra-gauchistes ! 03 Août 2011 :
Bien au contraire, elle les approuve et les partage ! Car, histoire d'en rajouter un peu, Martine Aubry a déclaré il y a seulement quelques jours, que parmi les qualités qu'elle aimait le plus chez son mari, il y avait « la justesse de ses points de vue... » On ne saurait être plus clair...

Alors, on assume ses idées, et on admet que les autres puisse les rappeler publiquement aux électeurs... Enfin, en plein débat sur la laÏcité, rappelons que c'est pré- cisément à Lille que des piscines sont souvent réservées aux femmes... Comprenez : des femmes voilées, ou en tous cas musulmanes affichées... La belle nana libre très sexy, style Loana de Love Story, n'a elle, strictement aucune chance de pouvoir y entrer pendant ces horaires-là.

Voilà donc la liberté d'expression que nous aurions eu avec ces deux guignols si Martine Aubry s'était installée à l'Elysée, avec son éminence grise qui sera son âme damnée et son exécuteur des basses oeuvres, chargé de la censure...
Les Normands ont perdu naguère leur petit Quin-Quin, ils ont gagné 2 gros cons-cons !...  


Jimmy BARTHEL.

Criminalité : Quand va-t-on jumeler St-Denis avec Bagdad ?

La première mesure que Mme Taubira a prise, en qualité de Ministre de la Justice, c'est de stopper les nouveaux Tribunaux pour Mineurs instaurés par le gouvernement précédent, et d'annoncer qu'un projet de loi sera déposé afin de supprimer les peines plancher... La gauche continue ainsi de faire preuve d'un angélisme aussi débile que dangereux.

Un article du Parisien raconte comment les bandes de racailles sont omniprésentes à St-Denis, y compris dans le centre-ville, où des guetteurs surveillent du haut de passerelles les distributeurs automatiques des banques, prêts à aller dépouiller avec violence et en plein jour devant tout le monde, puisque en bande, les personnes qui viennent de retirer une somme quelque peu conséquente...

Mais malgré cette insécurité qui ne cesse de progresser, ils s'appliquent à détruire le peu qui a été fait contre les voyous, afin de satisfaire leurs convictions profondes : A savoir que quelque soient les actes commis par les pires de ces délinquants et criminels, ceux-ci méritent toujours de se voir traités en personnes tout à fait réinsérables, aux yeux des socialistes et de l'ultra-gauche. De même, tous ces biens pensants crient systématiquement à la bavure dès qu'un policier tue un criminel dans le cadre de ses périlleuses fonctions...

Mais lorsque dernièrement un voyou (récidiviste de vols avec violences), fut tué, on entendit d'abord les magistrats considérer comme une preuve quasi-absolue de non-légitime défense le fait qu'un fuyard ait reçu une balle dans le dos. Personne n'a semble-t-il eu l'idée, pourtant évidente, selon laquelle on peut parfaitement courir... et tirer derrière soi en se retournant seulement légèrement... Et le policier qui s'est fait canarder par un mec tirant derrière lui tout en courant était ainsi parfaitement en droit de riposter !
Mais le plus hallucinant s'est produit ensuite : Car la première action de Mr Manuel Valls, le nouveau Ministre de l'Intérieur, que certains croyaient partisan de la fermeté, a consisté à rendre visite... à la famille du criminel abattu !
On croyait rêver... Le cauchemar est réel... A l'inverse, depuis plusieurs années, des ultra-racailles tirent à balles réelles sur les forces de l'ordres, qui malgré cela, se voient toujours refuser toute possibilité sérieuse de se défendre ! Depuis la policière municipale qui a été abattue à l'AK-47, jusqu'aux deux femmes gendarmes qui viennent encore récemment de donner leur vie pour protéger la notre, (lire ci- dessous le témoignage exceptionnel d'un gendarme !), ces drames laissent indifférents ceux qui ont toujours préféré Guignol et les voleurs, aux gendarmes et aux honnêtes gens !

Jusqu'à quand les Français, qui approuvaient avec une majorité de plus de 80% les dispositions prises par le précédent gouvernement pour lutter contre l'insécurité, vont-ils accepter que le droit à la légitime défense soit appliqué avec une telle élasticité, et que les juges rouges du Syndicat de la Magistrature puissent oublier de manière aussi sélective la présomp- tion d'innocence, en considérant presque toujours les policiers comme étant, au contraire, présumés coupables !

Dans ce contexte, dans lequel ils n'ont plus le droit de défendre leur peau que quand on leur a déjà trouée, devra-t-on créer un jour par décret une Zone Verte dans le centre de St-Denis, en attendant le sympathique jumelage de cette ville ave Kaboul ?  


Klayton.  

 EXCLUSIF !   Malgré son devoir de réserve,
un Gendarme ose parler !

Cette déclaration très émouvante, que le site SDF75 a pu se procurer, est diffusée par Laurence Havel Secrétaire Nationale de l'Institut pour la Justice.
www.institutpourlajustice.com

Lisez l'intégralité du témoignage de ce gendarme...
Un cri du coeur !
(Précédé d'une préface de Laurence Havel)

Chers amis,
Un gendarme vient de nous écrire. Il réagit au meurtre de de deux de ses collègues par un multirécidiviste, à Collobrières. Il faut lire son texte jusqu'au bout, c'est un témoignage exceptionnel, en intégralité ci-dessous. Car le meurtrier n'aurait jamais dû être en liberté : si la peine plancher avait été prononcée, deux femmes, deux gendarmes, seraient encore en vie aujourd'hui.
Laurence Havel

Bonsoir à tous les membres de l'association, ainsi qu'à ceux qui font qu'elle existe.
Je souhaitais évacuer l'immense peine qui m'envahit depuis l'annonce du décès de mes deux collègues féminins gendarmes.
Je ne peux m'empêcher d'être en colère et d'avoir le goût du sang dans la bouche. Il n'y a plus aucune limite chez cette partie de la population qui semble avoir acquis ses valeurs dans un univers virtuel ; mais tellement réel pour les familles de leurs victimes !
J'apprends que Abdallah Boumezaar pourrait être mis en examen avec sa compagne. Il était incarcéré jusqu'au mois de septembre dernier ! Il s'agit d'un multi-récidiviste incontrôlable qui bénéficie de l'abandon d'une justice étouffée par un pouvoir politique bien-pensant !

Quel est l'intérêt d'une information judiciaire face à de tels actes ?
Demander à des gendarmes d'auditionner des membres de sa famille afin de pouvoir dire que c'est un adulte qui a connu une enfance difficile ?
Lui trouver des circonstances atténuantes ou un début d'explication à son acte barbare ? Dépenser une fois de plus l'argent du contribuable pour influer sur la décision de la Cour d'Assises ? Connaître, à travers des expertises et contre-expertises, les angles de pénétration des balles avec lesquelles il a tué les gendarmes ?
Avec un peu de chance, les délais des expertises lui permettront de ressortir avant son jugement et de pouvoir fuir ; voir faire de nouvelles victimes pour devenir une star du petit écran !

Le ministre de l'intérieur nous explique que la nation va rendre hommage à nos deux collègues décédées alors que dans le même temps, Mr Hollande souhaite abolir les peines planchers qui « sont contraire au principe de l'individualisation des peines ».(1)

La justice publique est venue brider la justice privée en lui promettant d'être dissuasive et de protéger l'individu. Oùen sommes-nous aujourd'hui ? 90 € pour un dépassement de 6 km/h en agglomération avec un système de recouvrement plus onéreux que la créance et une violence galopante épargnée par un pouvoir condes- cendant...

Je suis chef de groupe enquêteur en unité de recherches au sein de la Gendarmerie Nationale (l'institut pourra ralayer vos messages car je me suis clairement identifié auprès de lui et il a pu vérifier mon appartenance à l'institution). Je sors de mon devoir de réserve et de mon anonymat pour crier ma colère. Je suis agé de 40 ans et cela fait maintenant 18 ans que j'accompagne les victimes. Je me suis investi corps et âme durant plusieurs années de mon existance pour mon métier et au détriment de ma famille. Je ne regrette aucun de ces moments offerts aux victimes et à leurs famille.
Aujourd'hui, je ne me reconnais plus dans ce système régenté par les statistiques et qui permet aux délinquants de faire partie du paysage audiovisuel entre deux sujets d'information au journal télévisé ; quand ce n'est pas entre deux publicités !

Nos représentants ont le devoir de nous protéger des prédateurs qui menaçent la cité. Je me tourne vers chacun d'entre vous, mesdames et messieurs nouvellment élus. rappelez-vous que vous avez promis de défendre les droits de chacun de vos concitoyens. Comment pouvez-vous tolérer et permettre de telles choses qui durent maintenant depuis de si nombreuses années ! Les policiers et les gendarmes sont-ils en guerre ? Doivent-ils mener le combat de la paix publique seuls ? Ne serions-nous pas en droit de brûler des voitures ou des containers à poubelles pour être entendus à notre tour ? Est-ce ainsi que vous apportez votre soutien aux garants des libertés individuelles ?

Je croise les doigts régulièrement pour que l'un de mes proches ne soit pas victime d'un tel individu car je sais que cela aura pour conséquence de m'anéantir. Dois-je prendre les armes pour protéger ceux qui me sont chers ?
Je crains malheureusement que notre justice ne soit de plus en plus défaillante dans les années à venir. J'invite donc toute personne qui aura pris connaissance de ce mail, à rejoindre l'Institut pour la Justice et à inviter les membres de son entourage à faire de même.
Ma colère et mon inquiétude ne sont malheureusement pas apaisées à l'issue de ce message mais mes pensées vont aux proches de mes deux collègues décédées.
Je laisse ce texte à la pertinence de l'Institut qui pourra en faire l'usage le plus opportun à ses yeux.

Un citoyen qui veut croire !

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(1)  FAUX : les peines plachers ne sont pas contraire au principe de l'indivi- dualisation des peines car elles ne peuvent pas s'appliquer systématiquement à n'importe quel récidiviste, notamment auteur de faits non graves.
Le Conseil Constitutionnel a émis une réserve en validant la loi LOPPSI 2, en rappelant que les peines planchers ne pouvaient s'appliquer « qu'aux actes d'une particulière gravité, tels que notamment les vols avec violences ».
Et même dans ces cas-là, le juge peut toujours en écarter l'application, par une ordonnance spécialement motivée, au vu de la situation particulière de l'individu mis en cause.
En votant les peines plancher, le pouvoir politique a simplement voulu, à l'inverse, que le Juge cesse d'abuser de sa liberté en prononçant des sursis, ou des non-révocation de sursis antérieurs, à répétition, ce qui a pour effet de maintenir en liberté des auteurs d'actes très graves, qui ont ainsi conscience de leur certitude d'impunité.
Ce qui ne peut que les conforter dans leur intention de récidive...