Un sondage rテδゥvテδゥlait, il y a prテδィs d'un an, qu'un nombre important de personnes craignaient de
se retrouver un jour SDF !... Et cette crainte n'est pas exagテδゥrテδゥe, car hテδゥlas, en France, il n'y a pas de vテδゥritable filet social qui テδゥvite qu'une personne
se retrouve un jour テδ la rue...
Bien entendu, il peut y avoir plusieurs raisons qui font qu'une personne va se retrouver SDF.
Mais je n'aborderai ici que les raisons indテδゥpendantes de la volontテδゥ de cette personne.
En effet, il est clair que si un mec est sale, qu'il picole sans arrテδェt,
qu'il est instable ou violent ,ou
encore qu'il ne se comporte pas bien dans son travail, un jour ou l'autre la sanction va s'abattre :
Il sera licenciテδゥ !...
Et si テδ ce moment-lテδ, il lui arrive aussi d'autres problテδィmes,
si par exemple il n'avait pas mis un peu d'argent de cテδエtテδゥ, il risque d'avoir des difficultテδゥs pour payer son loyer.
Et donc de s'enfoncer encore plus.
Et du fait de sa conduite, il ne trouvera personne pour lui tendre la main le jour oテδケ il en aura le plus besoin !...
Devenir SDF : Pourquoi ? Comment ?
Beaucoup de Franテδァais se retrouveraient SDF s'ils n'avaient pas la possibilitテδゥ d'テδェtre aidテδゥs, car hテδゥbergテδゥs par leurs proches
(famille ou bons amis...), qui peuvent ainsi leur apporter la petite aide suffisante pour qu'ils ne basculent pas dans
cette situation...
Et テδェtre sans logement ne signifie pas テδェtre sans ressources... Ces personnes peuvent trテδィs bien apporter leur contribution テδ ceux qui les aident,
et partager les frais...
Quand je dis qu'il n'y a pas de filet social, on constate que ces protections dテδゥpendent toutes de l'environnement privテδゥ, qu'il soit familial,
amical, ou encore simplement relationnel.
Mテδェme aux Etats-Unis, pays capitaliste souvent citテδゥ pour son soi-disant cテδエtテδゥ inhumain ou le chacun pour
soi est sensテδゥ テδェtre la rテδィgle, il existe toujours une solidaritテδゥ basテδゥ sur une tradition quasi-universelle de soutien, provenant en premier du cercle familial.
Les SDF : La Sociテゥtテゥ est-elle responsable ?
Tout d'abord, lorsqu'on aborde le problティme des SDF,
c窶册st la premiティre des questions テ envisager. A mons avis, on peut examiner 2 hypothティses :
Hypothティse 1 : Selon cette thテδィse, les SDF seraient responsables de leur sort.
La sociテδゥtテδゥ n窶册n serait pas la cause, ou trテδィs peu. Elle ne serait donc
pas tenue テδ une obligation de rテδゥsultat pour les aider テδ s'en sortir...
Sauf テ se placer simplement dans le
domaine de la charitテゥ facultative, que chacun est
libre ou pas
d窶册xercer, qu'il s'agisse de l'Etat, des associa- tions caritatives, ou mテェme
des simples personnes physiques.
Hypothティse 2 :
Au contraire, si on part du principe qu'une partie au moins des SDF ne sont pas responsables
de leur situation, cela implique alors que la collectivitテδゥ nationale fasse
en sorte que pas un citoyen ne se retrouve malgrテゥ lui sans logement, sous rテδゥserve qu'il puisse assumer un loyer dテδゥcent,
compte tenu des aides en vigueur...
Quitte テδ ce que cette aide de la sociテδゥtテδゥ soit modulテδゥe en fonction de la responsabilitテゥ des
personnes concernテゥes, et de leurs efforts pour sortir de cette situation.
Dテδィs lors que les efforts demandテδゥs ne sont pas eux-mテδェmes contraires aux droits les plus テδゥlテδゥmentaires !...
(1)
L'un n'empテδェche hテδゥlas pas l'autre...
La deuxiティme hypothティse est depuis longtemps validテδゥe par la quasi-totalitテδゥ des acteurs sociaux.
Bien sテδサr, nous savons que les sans-abris ne sont pas tous des victimes innocentes du systティme テゥconomique.
Mais c'est aussi commettre une grande injustice d'affirmer テδ l'inverse, que ces mテδェmes SDF sont responsables de leur sort, et devraient pour
cela se contenter des quelques miettes sociales qu'on daigne actuellement leur offrir.
Ces deux テゥtats de faits sont aussi rテゥels l'un que l'autre, et co- existent aussi indテδゥpendamment l'un de l'autre :
que de nombreux SDF refusent de s'en sortir n'empテェche pas que ceux qui
le souhaitent ne sont de toutes faテァons pas sテδゥrieusement aidテδゥs. Et il ne sert テ rien de sans cesse テゥvoquer l'un des cas
pour mieux pouvoir nier l'autre !...
De nombreux SDF le veulent bien, c'est vrai.
Hテδゥlas, de trテδィs nombreux SDF sont en grande partie responsables de ce qui leur
arrive. Ils n'ont mテδェme plus les comportements テゥlテゥmentaires indispensables pour mener une vie normale.
Par exemple, celui qui picole テ longueur de journテゥe, qui est sale et agressif, on ne peut pas dire qu'il est rテδゥinsテδゥ- rable.
En tout cas, pas テδ court terme.
La trテδィs grande majoritテδゥ de ces SDF sont tellement dテゥsocia- lisテゥs, et mテδェme clochardisテδゥs,
qu'on peux parler de refus de s'en sortir.
Ce que je vois quotidiennement confirme ce que j'ai pu lire, テδ savoir que tous ceux qui ne
veulent plus ou ne peuvent plus rien changer テ leur faテδァon d'テδェtre constituent une forte proportion de
la population des sans-abris.
Tous ceux que vous voyez souvent devant les Monoprix ou dans des squares, complティtement
dテゥpenaillテゥs, pratiquant une mendicitテゥ plus ou moins agressive, munis de leur boite de biティre, et accompagnテδゥs de 2 ou 3 chiens
famテゥliques !...
Que pourrait-on du reste leur proposer comme travail et qui voudrait les embaucher ?...
Certains bien-pensants seront probablement choquテδゥs par cette description, mais elle est malheureusement exacte, et
ce n'est pas parce que vous aurez dテδゥcidテδゥ d'appeler un chat un coq qu'il va venir chanter sous votre balcon テδ 6 heures du matin pour vous rテδゥveiller.
Il y aurait d'ailleurs, d'aprテδィs des enquテδェtes qui ont テδゥtテδゥ publiテδゥes, entre 30 et 35% de SDF qui seraient atteints de troubles mentaux graves !...(je confirme, y en a des tas...)
Mais dans l'autre sens, on considテδィre テδゥgalement que plus d'un tiers des SDF sont des personnes complテδィtement normales, absolument pas dテδゥsocialisテδゥes,
qui n'ont dテδゥjテδ rien テδ faire dans des foyers de type CHRS, avant mテδェme d'y entrer...
Mais la Sociテδゥtテδゥ n'aide pas les SDF cleans !...
Mais ceci rend d'autant plus inexcusable le refus de la sociテゥtテゥ Franテァaise d'apporter テ ceux qui ne sont pas responsables de leur sort, la vテゥritable assistance (non,
je n'ai pas honte de ce mot) qu'elle leur doit !
Eh oui, mesdames et messieurs, plus il y a de personnes qui ne veulent pas quitter la rue, et plus
ceux qui veulent vraiment s'en sortir doivent, eux, テェtre aidテゥs de maniティre rテゥellement efficace, afin qu'ils puissent
retrouver leur place dans la sociテゥtテゥ ! Sans oublier que plus vite et mieux vous les aiderez, et
moins ils vous coテサteront cher.
Oui, presque tout le monde peut devenir SDF...
Hテゥlテs, cette sociテゥtテゥ manque テ ce point des sテゥcuritテゥs les plus
テゥlテゥmentaires テ son
fonctionnement que n窶冓mporte lequel d窶册ntre vous peut effectivement se retrouver SDF presque du
jour au lendemainツ!...
A moins bien sテサr de faire parti des personnes les plus favorisテゥes socialement...
Mais si on est au contraire simplement un citoyen comme les autres, c'est trテδィs facile de se retrouver SDF. Cela simplement par
la suppression de lテ「ツツ冰ne des choses qui sont normales et indispensables pour vivre convenablement : le travail ou un logement, mais
surtout si on perd le logement !
Car on sait trテδィs bien que si on perd le travail, on peut en retrouver un et se dテδゥbrouiller pour payer pendant ce temps.
Alors que si on perd son logement, on ne parviens plus テδ en trouver un autre, et on perd son bulot dans la foulテδゥe... Voilテδ, tout simplement !
Le Logement : Le problテδィme Nテつー1 en France.
Passons donc テδ prテδゥsent en revue, et c'est aprティs tout le but de cet article, toutes les raisons et テゥvティnements qui peuvent faire qu'un
mec va
se retrouver SDF sans le vouloir :
1ツー) ツLa perte involontaire de son Logement :
ツツA) Fin du bail, le propriテδゥtaire veut son logement pour lui.
ツツB) Fin du bail, le propriテδゥtaire veut reloger un proche.
ツツC) Fin du bail, le propriテゥtaire veut vendre. Vous achetez ou vous partez !
(C'est personnellement ce qui m'est arrivテゥ !...)
1ツー) ツLa nテδゥcessitテδゥ de quitter son Logement :
Je vais citer ici les cas oテケ la personne テ quittテゥ son logement, certes volontairement,
mais en croyant qu'elle pourrait en trouver un autre.
ツツA) Fin d'une vie テδ 2. L'un est chez lui, l'autre doit partir !
ツツB) Changement de rテδゥgion, de travail, et テδァa rate...
Comme vous pouvez le voir, テァa fait dテゥjテ pas mal de raisons qui font que beaucoup de personnes vont basculer.
La personne n'a plus de logement, mais ensuite ne parvient pas テ en retrouver un. Si テ ce moment-lテ, il n' y a pas des
proches qui rテゥpondent prテゥsent pour lui venir en aide, テァa va テェtre le dテゥbut de la dテゥgringolade !...
Et sans logement, la personne va trテδィs vite perdre son travail (Voir mon autre rubrique : SDF : La vie dans la rue).
Sans boulot, pas de logement, mais surtout, sans logement, pas de boulot !
Mテδェme avec un travail, pas de logement !
Maintenant, dites-moi : vous avez propablement entendu parler de ces personnes, employテδゥes テδ la Mairie de Paris, et qui dormaient dans leur
voiture, car malgrテδゥ un salaire rテδゥgulier, personne ne voulait leur louer quoi
que ce soit !... Ce qui dテδゥmontre bien s'il en テδゥtait encore besoin, qu'il ne suffit pas dテ「ツツ兮voir un salaire pour parvenir テδ se loger !テ「ツツヲ
Non, messieurs : Un boulot ne donne pas de logement ! Arrテδェtez vos conneries d'un autre age !
Mais avec un logement, on peut payer...
Par contre, avec un logement, on trouve du taf, et en attendant, on peut payer :
Solution 1 : Du Fric de cテδエtテδゥ ! :
Croyez-vous sテδゥrieusement que seul le salaire qui tombe chaque mois, garantisse la solvabilitテδゥ ?
Mais indテδゥpendamment de ces sempiternelles fiches de paie, il est テδゥvidemment possible de payer un loyer mテδェme si on ne travaille pas...
Il y a plein de gens qui se retrouvent au chテδエmage, ou mテδェme au RSA, et qui ne cessent pas pour autant de payer leur loyer !
D'abord, quand on arrive テδ 40 ans, ou mテδェme 50 ans, on a souvent テδゥtテδゥ capable de mettre du fric de cテδエtテδゥ ?
(Livret A, ou mテδェme Plan d'Eparge Logement, etc...)
Les hommes ne sont pas tous des cigales. Et certains, n'ont pas claquテδゥ tout leur fric au bistrot pendant des annテδゥes !
Et le fait d'avoir de la thune de cテδエtテδゥ est bien supテδゥrieur au salaire qui tombe chaque mois.
Certains disent que l'argent de cテδエtテδゥ n'est pas une garantie... N'importe quoi !
OK, mais si on part du principe que le mec est de mauvaise foi, il peut aussi arrテδェter de bosser, et ne plus payer non plus.
Et plus d'avis テδ tiers dテδゥtenteur possible...
Le montant que la personne dispose est テδ mettre en comparaison avec ce qui lui restera テδ payer, une fois dテδゥduites les aides au logement.
(Voir ci-dessous)
Solution 2 : Les Aides au Logement : APL ou ALS :
Donc, je reprends : Quand la personne est au RSA ou une allocation de chテエmage assez modeste, elle touche en plus les Allocations Logement (APL).
J'ai un copain qui perテδァoit 312 竄ャ d'APL, pour une studette en Rテδゥsidence Sociale. C'est donc le montant maximum de l'APL que va toucher un mec au RSA.
Le montant de ces APL couvre ainsi une grande partie du montant du loyer. Et elles sont donc une trテδィs bonne garantie pour les
propriテゥtaires quand il s'agit de louer des petites surfaces (F1).
En effet, les aides au logement suivent le montant du loyer et laissent
environ 60 竄ャ テδ charge au locataire... jusqu'テ concu- rence du montant maximum, donnテゥ ci-dessus.
Au-delテδ, c'est le locataire qui paie le reste...
En plus, le propriテδゥtaire peut exiger le tiers payant auprテδィs de la CAF et le locataire ne peux pas s'y opposer, mテδェme dans le parc privテδゥ.
Et mテδェme avec un loyer de 450 テ「ツつャ, il ne me resterait qu'un relicat d'environ 150 テ「ツつャ テδ payer...
Quel est le con qui n'est pas capable de payer une telle somme mensuellement ?
Stabilitテゥ n'est pas employabilitテゥ :
10 ou 15 ans dans la mテェme sociテゥtテゥ ! Stabilitテゥ ? Peut-テδェtre. Oui, mais en cas de
licenciement ? Pour retrouver du taf ?...
Pire, voyez-vous, les critティres de nos grand-pティres sont encore les plus dテゥbiles ... Je m'explique : vous pensez
tous que celui qui a passテゥ de nombreuses annテゥes dans une sociテゥtテゥ est le plus stable.
Mais mテェme s'il avait テゥtテゥ rテゥellement dテゥmontrテゥ, ce qui n'est pas le cas, qu'une personne qui
change souvent d'emploi est instable, est-ce pour テδァa qu'elle va cesser de payer son loyer ?
Cela n'a rien テ voir. Un type change de travail justement parce qu'il sait qu'il pourra trouver mieux ! Il est dynamique !
Et si vous rテゥflテゥchissez un instant, comme disait le miroir テ la glace du placard, vous
vous rendrez compte que celui qui est restテゥ toute sa petite vie テ faire le mテェme job reprテゥsente au contraire un risque bien
supテゥrieur.
D'un seul coup, il est licenciテゥ pour un motif テゥconomique, aprティs des annテゥes
de bons et masos services.
Et ce mec qui est restテゥ 15 ou 20 ans dans la mテェme sociテゥtテゥ, (et qui s'en vente au comptoir des
bistrots), il y a toutes les chances pour qu'il n'y comprenne plus rien, que cela soit un choc pour lui. Parce que ce genre de vieux travailleur, il
croit que sous prテゥtexte que テァa fait des annテゥes qu'il bosse dans la mテδェme sociテゥtテゥ, son patron est mariテゥ avec
lui,
et qu'il devrait le garderツ jusqu'テ sa mort, mテェme s'il n'a plus besoin de lui !
Il va rテゥpテゥter sans cesse un discours que vous avez certai- nement dテδゥjテδ entendu : ツォ Mais pourquoi ? J'ai bossテゥ
toute ma vie, j'ai toujours fait
trティs correctement mon travail, je n'ai jamais テゥtテゥ au chテエmage, moi, et gna...gna...gna... ! ツサ.
Il va テェtre vachement
en テゥtat de retrouver du boulot, le mec !... Sans oublier que lui, justement parce que Pテδエle Emploi, il ne connait pas,
il ne sait mテェme plus faire un CV... Il ne connait pas les techniques actuelles de recherche d'emploi !...
Ou bien, il va devenir dテゥpressif... Vous savez, il parait que c'est le mal du siティcle !...
Wouaff !... Ca me fait vraテョment marrer, moi !
Vous connaissez la rangaine, il n'y a jamais eu autant de suicides, parmi les jeunes, parmi les vieux,
parmi les cons, parmi les perroquets qui ont テゥcoutテゥ les discours de Sテゥgolティne Royal !...
Dans l'autre sens, il y a des mecs qui bougent beaucoup, mais qui grテ「ce テ テァa, ont connu plein d'organisations diffテゥrentes
du travail. Et dans des branches oテケ il y a du boulot !...
Tenez, par exemple, dans la restauration : Une profession sous tension, comme on dit. Ce qui signifie que ce sont les patrons
qui attendent aprティs les employテゥs et que si vous voulez, vous trouvez. Un exemple :
Hotellerie-Restauration : Plus de 60 000 emplois non pour- vus. Journal Le Parisien du Mardi 27 fテゥvrier 2007,
page 7.
Pour finir et rテゥsumer tout cela, Messieurs, la vie n'est pas ce que vous croyez ! Il va falloir faire テゥvoluer vos
critティres !
Un dernier exemple : Il y a actuellement environ 2 500 000 personnes qui sont interdites bancaires, et inscrites sur le fameux
fichier de la banque de France !
Alors que moi, qui suis RMIste et qui couche dehors, je n'ai jamais fait le con. Je sais diriger ma vie, gテゥrer mon budget, et
grテ「ce テ cela, je n'ai pas eu de problティme pour me faire dテゥlivrer un chテゥquier et une vraie Carte Bleue VISA, pas la
Carte Bleue Electron/Carte テ la Con !... Voilテ encore un critティre intテゥressant, toujours dans l'optique de dテゥtecter
parmi les gens de bonne foi, ceux qui ne se laissent pas ballotter par la vie comme une bouteille sur les vagues !...
Pour finir, je dis simplement テδ tous ces moralistes que je ne leur ferai pas le plaisir de me dテδゥgrader, que ce soit physi- quement ou moralement.
Ils seraient trop heureux de pouvoir encore dire que c'est
de notre faute. Je ne dテδゥclinerai jamais, j'ai trop
de volontテゥ pour テδァa. Au fil du temps, j'aurai un niveau de plus en plus テゥlevテゥ en Informatique. Mテδェme si テδァa ne me permet pas de
bosser, テδァa me servira toujours テδ moi !...
Et si je n'ai pas le droit, avant un dテδゥlai trop long, d'avoir la mテδェme vie que tout le monde, et pouvoir rentrer chez moi le soir, alors
je passerai dans X annテゥes du RSA au Minimum vieillesse !... Ce serait dommage, non ?
Mais comme disait Coluche : Ne rigolez pas trop, c'est avec votre pognon !...
(1)
Par exemple, on ne peut pas obliger un mec テδ aller dans un foyer dans lequel l'hテδゥbergement est collectif,
et venir dire ensuite que du fait de son refus, c'est de sa faute s'il est dehors, et donc qu'il ne peut pas travailler...